En el mes de septiembre, los habitantes del distrito
Simon Bolivar provincia de Pasco, iniciaron una marcha de sacrificio, es decir,
recorrieron a pie los más de 300 kilómetros que les separaban de la Capital
Lima. El motivo de la marcha, era conseguir del gobierno un plan de emergencia
ambiental, ya que la mayoría de los habitantes y en particular los niños,
tienen tasas de metales pesados muy encima de las normas aceptadas por la OMS y
muchos presentan problemas de salud o de invalidez sumamente graves y directamente
imputables a la contaminación. A pesar de los intentos de la policía para
detener la marcha, a veces con violencia, ya que dos personas fueron golpeadas
hasta perder el conocimiento, los pobladores llegaron a Lima después de dos
semanas de una dura caminata.
En Septembre, la
population du district de Simon Bolivar, province de Pasco, ont commencé une
marche de sacrifice, c'est-à-dire qu’ils ont parcouru à pied les plus de 300
kilomètres qui les séparent de la capitale Lima. La raison pour entreprendre la
marche était d'amener le gouvernement à mettre en place un plan d'urgence
environnementale puisque la plupart des habitants et surtout les enfants, présentent
des taux de métaux lourds bien supérieurs aux normes admises par l'OMS et de
nombreuses personnes ont des problèmes de santé ou d’invalidité extrêmement graves
directement attribuables à la pollution.. Malgré que la police a tenté
d'arrêter la marche, parfois avec violence, deux personnes ont été battues
jusqu’à perdre connaissance, les habitants sont arrivés à Lima après deux
semaines d'une marche difficile.
Llegada
de la marcha de sacrificio a Lima
Lo que está sucediendo en Cerro de Pasco, mañana será lo
cotidiano en Cajamarca, Ancash, Arequipa, Moquegua, Apurímac, Cusco, Junín,
cada proyecto minero restringe el territorio habitable, contamina el aire y merma
el acceso al agua potable, ya los ríos que abastecen a la propia capital Lima
tienen tasas de metales pesados encima de las normas.
Ce qui se passe
en Cerro de Pasco, demain sera le quotidien à Cajamarca, Ancash, Arequipa,
Moquegua, Apurímac, Cusco, Junín, chaque projet minier restreint la terre
habitable, pollue l'environnement et réduit l'accès à l'eau potable, déjà les rivières
qui alimentent la capitale Lima elle-même ont des taux de métaux lourds
au-dessus des normes.
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