Les mesures de précaution dictées par la Cour interaméricaine des droits de l'homme (CIDH), en date du 7 mai 2014, en faveur de 46 leaders de la lutte contre le projet minier Conga, ont été présentés jeudi à Cajamarca, lors d'une conférence de presse qui s’est déroulée dans le local du restaurant Zarko, par Ydelso Hernandez et Segundo Perez, les dirigeants CUNAARP, en présence de Manuel Ramos et de l’avocate Zulma Villa Vilchez.
Etaient également présents pour l’occasion, des délégués des rondes paysannes de Bambamarca et Celendín et Isidora Chaupe au nom de sa famille.
Hernandez, président de la CUNAARP, a récapitulé les plaintes contre le gouvernement péruvien présentées à la CIDH et des faits allant de l’agression d’habitants par la police, le 29 novembre 2011, ou 28 personnes furent blessées, jusqu’au harcèlement constant de la famille Chaupe, survenu en mars de cette année.
L’avocate Dr Villa Vilchez a déclaré que des mesures de précaution en faveur de 46 dirigeants, en leur qualité de représentants du peuple, sont des dispositions que le gouvernement péruvien devra respecter afin de garantir la vie et l'intégrité physique de ces dirigeants. Le gouvernement péruvien a un délai de 15 jours pour repondre aux mesures de protection proposées par les ronderos.
Parmi les 46 bénéficiaires des mesures nous avons tous les membres de la famille Chaupe, le journaliste César Estrada, et les dirigeants Edy Benavides, Milton Sanchez, Nicanor Alvarado, Manuel Ramos, Ydelso Hernandez, Segundo Perez et Luis Mayta, entre autres.
Les mesures de précaution dictées par le CIDH représentent une victoire historique contre l'Etat péruvien, dans la mesure où elles cherchent à garantir la vie des dirigeants en tant que représentants de leur peuple.
Il s'agit d'un premier moyen présenté par la CUNAARP et l’avocate Villa Vilchez en Décembre 2011. Le deuxième moyen, encore en attente de décision, présenté en Avril 2012, concerne la présence illégale de l’exploitation minière Yanacocha sur le territoire des lacs de Conga.
Les rondes paysannes se sont réunies avec la CUNAARP l’après-midi dans la ville de Cajamarca pour voir quelles mesures de précaution doivent être présentées à l'État péruvien pour leur accomplissement. L’une d’entre elle sera de toute façon le classement sans-suite des poursuites contre les dirigeants.
Données fournies par Raquel Neyra (Servindi - Aldeah)
Etaient également présents pour l’occasion, des délégués des rondes paysannes de Bambamarca et Celendín et Isidora Chaupe au nom de sa famille.
Hernandez, président de la CUNAARP, a récapitulé les plaintes contre le gouvernement péruvien présentées à la CIDH et des faits allant de l’agression d’habitants par la police, le 29 novembre 2011, ou 28 personnes furent blessées, jusqu’au harcèlement constant de la famille Chaupe, survenu en mars de cette année.
L’avocate Dr Villa Vilchez a déclaré que des mesures de précaution en faveur de 46 dirigeants, en leur qualité de représentants du peuple, sont des dispositions que le gouvernement péruvien devra respecter afin de garantir la vie et l'intégrité physique de ces dirigeants. Le gouvernement péruvien a un délai de 15 jours pour repondre aux mesures de protection proposées par les ronderos.
Parmi les 46 bénéficiaires des mesures nous avons tous les membres de la famille Chaupe, le journaliste César Estrada, et les dirigeants Edy Benavides, Milton Sanchez, Nicanor Alvarado, Manuel Ramos, Ydelso Hernandez, Segundo Perez et Luis Mayta, entre autres.
Les mesures de précaution dictées par le CIDH représentent une victoire historique contre l'Etat péruvien, dans la mesure où elles cherchent à garantir la vie des dirigeants en tant que représentants de leur peuple.
Il s'agit d'un premier moyen présenté par la CUNAARP et l’avocate Villa Vilchez en Décembre 2011. Le deuxième moyen, encore en attente de décision, présenté en Avril 2012, concerne la présence illégale de l’exploitation minière Yanacocha sur le territoire des lacs de Conga.
Les rondes paysannes se sont réunies avec la CUNAARP l’après-midi dans la ville de Cajamarca pour voir quelles mesures de précaution doivent être présentées à l'État péruvien pour leur accomplissement. L’une d’entre elle sera de toute façon le classement sans-suite des poursuites contre les dirigeants.
Données fournies par Raquel Neyra (Servindi - Aldeah)
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